La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
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La Chine a accusé jeudi l’Australie d’avoir entravé une enquête visant deux journalistes australiens, qui sont rentrés précipitamment dans leur pays en début de semaine par crainte d’une arrestation arbitraire.
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Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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Les deux journalistes australiens, Bill Birtles et Michael Smith, avaient reçu la semaine dernière en pleine nuit une visite de la police chinoise, les prévenant qu’ils ne pouvaient pas quitter le territoire avant de subir un interrogatoire.
Ils se sont alors réfugiés pour l’un à l’ambassade d’Australie à Pékin, et pour l’autre au consulat d’Australie à Shanghai. Après négociations diplomatiques, ils ont accepté de sortir répondre aux enquêteurs chinois, avant de regagner leur pays.
Les questions portaient notamment sur une autre ressortissante australienne, Cheng Lei, ex-présentatrice de la télévision publique chinoise anglophone CGTN. Elle est détenue au secret en Chine depuis août au nom de la « sécurité nationale ».
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a accusé jeudi l’ambassade d’Australie d’avoir aidé les journalistes à « se soustraire à l’enquête ».
« C’est allé bien plus loin que le cadre de la protection consulaire », a-t-il dénoncé lors d’un point presse régulier. « Il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures et la souveraineté judiciaire de la Chine. »
Au lendemain du départ de MM. Birtles et Smith, la diplomatie chinoise avait révélé mercredi que quatre journalistes chinois basés en Australie avaient subi le 26 juin perquisitions et interrogatoires par les services de renseignements australiens.
« L’Australie affirme que son enquête visant les reporters chinois était conforme aux procédures normales, mais que la Chine, elle, mène une diplomatie des otages. Cela démontre le sentiment de supériorité incroyable de certaines personnes en Australie », a dénoncé Zhao Lijian.
Les autorités australiennes se sont refusées à confirmer les perquisitions du 26 juin. Mais selon des documents judiciaires, elles auraient été effectuées dans le cadre d’une enquête liée à des soupçons d’ingérence chinoise dans les affaires de l’Australie.
Les relations diplomatiques se sont dégradées depuis l’appel de Canberra il y a quelques mois réclamant une enquête internationale sur l’origine du nouveau coronavirus, repéré pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (centre).
La Chine considère cette demande comme hostile et politiquement motivée. Elle a depuis pris une série de mesures de rétorsion économiques contre des produits australiens comme le boeuf ou l’orge.
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