Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
Sur l’ensemble de l’année, la chute est la plus importante depuis le début de la publication de ces statistiques.
« Le déclin du Produit intérieur brut annuel est principalement dû aux effets du confinement national plus tôt dans l’année 2020 », a indiqué l’agence.
La Nouvelle-Zélande a vécu un confinement très strict en mars et en avril, qui a largement contribué à contenir la propagation de l’épidémie.
Le pays est régulièrement salué pour sa réponse très efficace face au Covid-19, qui n’a fait que 26 morts dans une population de cinq millions d’habitants.
Après deux trimestres consécutifs de contraction, le PIB néo-zélandais avait enregistré au troisième trimestre un rebond de 13,9%.
Jarrod Kerr, économiste en chef chez Kiwibank, a déclaré que la contraction de 1% au quatrième trimestre était plus forte que prévu, ce qui s’explique selon lui par la volatilité provoquée par la pandémie.
Il a ajouté que l’absence de touristes étrangers signifiait que la croissance devrait aussi être négative au premier trimestre 2021, ce qui placera techniquement le pays en récession.
« Cependant, il est important de regarder plus loin », a-t-il dit.
« Le déploiement des vaccins et les discussions sur une bulle de voyage avec l’Australie, et peut-être avec d’autres pays, signifient que la croissance devrait être solide en 2022. »
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